« Je me nomme Dieu-Vit Quenum MOUSSAKI, j’ai 22 ans, d’origine congolaise. Diplômé du Bachelor in International Management, je suis actuellement en Master Grande École à Brest BS.
Après l’obtention d’un Baccalauréat Scientifique au lycée Notre-Dame du Rosaire au Congo-Brazzaville, j’ai opté pour des études en Sciences de gestion, inspiré par le parcours de mon père, aujourd’hui Directeur de banque.
À mes 18 ans, dans l’optique de réaliser mes rêves et réussir comme mon mentor, je suis sorti de ma zone de confort en quittant mon Congo natal pour la suite de mes études supérieures à l’étranger, plus précisément au Maroc. Je me suis inscrit à l’Université Euro-méditerranéenne de Fès, où j’ai fait ma première et ma deuxième année. Ces deux années au Maroc ont été très enrichissantes : j’ai découvert une nouvelle culture, des nouvelles connaissances et j’ai même acquis quelques notions en arabe dont je me sers souvent avec mes confrères marocains à Brest BS. D’ailleurs ils sont généralement stupéfaits au moment où je parle leur langue !
À la fin de ma deuxième année, l’université m’a suggéré trois écoles pour réaliser un échange dans le cadre d’un double-diplôme. Mon choix s’est porté vers la France et Brest Business School notamment pour son programme qui offre la posibilité de réaliser une alternance et le diplôme visé par l’État et reconnu à l’international.
J’affectionne énormément le côté multiculturel et multilinguistique qui existe au sein de l’école. Il y a des étudiants qui viennent de divers horizons, tout le monde se côtoie, communique et travaille ensemble. C’est pourquoi une fois mon Bachelor en poche, j’ai décidé de poursuivre mon cursus à Brest BS en intégrant le Programme Grande École, Grade Master.
Aujourd’hui, je suis extrêmement fier de faire partie de la grande communauté des diplômés (et étudiants) de l’école. Le chemin a été long et parfois douloureux. Le fait d’être loin de ma famille, de mes proches et d’être livré à moi-même a été difficile, mais cela m’a forgé et m’a donné un caractère de battant. Sur cette dernière ligne droite, je compte encore tout donner pour décrocher mon Master, acquérir de nouvelles compétences et participer au rayonnement de l’école à l’international. »